Le tabac du coin devient commerce de proximité avec la diversification des buralistes.

Outre les cigarettes, les produits de vapotage, les jeux à gratter, et la presse, on propose à une clientèle plus large de nouveaux produits comme de la papèterie, de l’alimentaire, des articles de souvenirs, des accessoires de plage, des cartes téléphoniques… ou de nouveaux services comme l’ouverture de compte bancaire ou le retrait de colis ou pourquoi pas la vente de billets de train. Quant aux services, ils sont très divers et dépendent beaucoup de l’emplacement du magasin et de sa clientèle.

Dans certains bureaux de tabac-presse on peut régler ses factures liées à l’Etat (hôpitaux, crèches, cantines scolaires), ses amendes et ses impôts (hors impôt sur le revenu). Il suffit de se présenter avec le document reçu par voie postale, scanner le code barre et régler le montant dans la limite de 300 € en espèces et libre par carte bancaire.

Les bureaux de tabac deviennent les petites banques des quartiers.

L’objectif est de faciliter les démarches pour 500 000 Français ne disposant pas de compte bancaire.