J’évite les parcmètres autant que possible mais, de temps en temps, surtout si je vais au cinéma en semaine, j’utilise le parking de la rue Spring en centre-ville. C’est plus pratique lorsque je ne suis pas certaine de la durée du film.

C’est ce que j’ai fait aujourd’hui.
Mais, à ma grande surprise, à l’entrée du bâtiment, il n’y avait plus de machine, plus de ticket papier, plus de barrière de parking, seulement un système de reconnaissance automatique des plaques d’immatriculation.

Je suis entrée et j’ai trouvé une place au troisième étage du bâtiment. J’ai pris l’escalier pour descendre à la rue et je suis allée voir mon film.

Deux heures plus tard, j’étais prête à rentrer chez moi. Une machine de paiement se trouvait au rez-de-chaussée du parking.  Malheureusement, je n’ai pas pu payer mon stationnement. Il fallait entrer le numéro de plaque d’immatriculation de ma voiture – et moi, je ne savais pas ce que c’était !

J’ai pris l’ascenseur pour monter au troisième étage. J’ai retrouvé ma voiture, j’ai noté son numéro, j’ai payé et je suis sortie du parking.

On n’a jamais fini d’apprendre. Cette semaine, mon numéro de plaque d’immatriculation figure en tête de liste.