Ce matin, j’ai ramassé des branches que les rafales de vent de l’autre jour ont fait tomber.

Depuis que j’ai survolé le roman « La Cible était française » de Lee Child, les rafales me font penser aux snipers.

Dans l’histoire, quelqu’un a tiré, sans succès, sur le président de la République Française à Paris avec un fusil de sniper et une balle américaine. Qui était-ce ?  Et pourquoi ?  Jack Reacher doit mettre la main sur le tireur.  On pense que l’attaque est une répétition pour une tentative d’assassinat contre le président américain lors d’un prochain sommet économique à Londres.

Et quel rapport avec une rafale de vent ?

Ce sniper d’élite a tiré à une distance phénoménale de 1 400 mètres. Plus tard, lorsqu’il a refait le coup, le sniper a tué la personne à côté de sa cible.  Il l’avait bien visée mais, à cette distance, une rafale de vent a pu détourner la balle de quelques centimètres. Fortuite pour la victime visée. Malheureuse pour le mort involontaire.